A Férin – Le 09/09/2020 par Franck Deshayes

Les applications de vidéoconférence type Teams, Skype, Google Meet ou encore Google Duo, n’ont cessé de faire évoluer leurs offres suite à la montée du télétravail dans de nombreuses entreprises. En effet, depuis le début de la pandémie du COVID-19, le choix de réunir ses employés par le biais de ce type d’applications, a été une des solutions trouvées pour enrayer la propagation du virus tout en conservant un lien -quoique virtuel- avec son équipe. Cependant, ce type d’application montre également des failles notamment en termes de sécurité des données personnelles.

Depuis Mai 2018, la réglementation en matière de protection des données est entrée en application avec pour objectif fondamental d’harmoniser cette loi au niveau européen.

Ce nouveau règlement est la réponse à de nombreuses craintes soulevées par la population puisque beaucoup d’Européens craignaient à la collecte abusive de données à leur insu par certaines entreprises et institutions.

Face au Covid-19 de nombreuses entreprises - petites, moyennes ou grandes - se sont pour la première fois depuis longtemps, retrouvées devant la même question : comment garder le lien avec leurs clients et leurs salariés tout en préservant leur santé ?

Certains supports comme les DSI (Direction des Systèmes d’Information) sont ainsi devenus des éléments centraux non seulement dans la gestion de l’information au cœur des entreprises mais également dans la gestion de l’après-confinement.

Depuis Mars, la mise en place du télétravail a modifié beaucoup d’organisations et de règles de travail au sein des entreprises françaises. Du jour au lendemain, pour la plupart des salariés, il a fallu « transférer » toutes les infrastructures techniques existantes de l’entreprise à la maison, sans réelle préparation. Les risques de sécurité et les failles liées à la distance font la joie des pirates informatiques. Retour sur 5 conseils de cybersécurité minimum à mettre en œuvre.